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Environnement
Journée de la diplomatie environnementale à UNISA

22 juin 2015 Culture
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En vue de la 21ème Conférence des parties (COP21) de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, l’Université d’Afrique du Sud a accueilli, le 17 juin, une journée dédiée à la diplomatie environnementale, en collaboration avec les missions diplomatiques de l’Union Européenne (France, Allemagne, Royaume-Uni, Danemark) et des États-Unis.

Cette journée comprenait des discours introductifs et une table-ronde, portant sur la COP21 et les changements climatiques au 21ème siècle.

La COP21 se tiendra du 30 novembre au 11 décembre 2015, à Paris, en France. Pour la première fois en 20 ans de négociations climatiques à l’ONU, cette conférence visera à instaurer des règles universelles et contraignantes afin de limiter le réchauffement climatique en-dessous d’un niveau de 2°C.

 

 

Lors de son discours inaugural, l’Ambassadrice de France en Afrique du Sud et au Lesotho, S.E. Élisabeth Barbier, a rappelé l’importance de parvenir à un accord à Paris, sans quoi nos modes de vie s’en trouveront irrémédiablement bouleversés. Madame l’Ambassadrice a déclaré que la France, en tant que pays organisateur et présidente de la COP21, se devait d’être à l’écoute de ses amis, de ses collègues et de ses partenaires. « Nous travaillons avec tous les pays dans la transparence, afin d’identifier nos ambitions collectives, de répondre aux attentes des partenaires internationaux, et, en particulier, ceux qui sont les plus vulnérables. Cette méthode de travail nous permettra de trouver les compromis nécessaires à l’établissement d’un consensus à Paris. »

« Cet accord doit être universel et légalement contraignant, il doit être ambitieux et doit permettre de limiter la hausse des températures en dessous de la barre des 2°C. Afin de nous assurer que ce processus est sur la bonne voie, il a été demandé à tous les pays participants de soumettre leurs contributions avant le sommet. »

S.E. Elisabeth Barbier a ajouté que, si les changements climatiques nous affectent tous, ils ne le font pas de la même façon. « L’accord qui doit être trouvé devra refléter la diversité des pays participant à la conférence. Il doit être équilibré entre des mesures de limitation et des mesures d’adaptation, afin de prendre en compte la diversité des réalités du changement climatique. Il doit également tenir compte des besoins de certains pays, en particulier les moins développés. Pour établir un cadre réglementaire efficace, légitime et universel, nous devons considérer la variété des opinions et des priorités de nos partenaires. Et, avant tout, nous devons le faire ensemble ! »




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